À savoir
Le prix d’une garantie vacance locative varie entre 2 et 4% du montant du loyer annuel (charges comprises).
Publié le 3 mai 2022Mis à jour le 4 janvier 2023
Publié le 3 mai 2022Mis à jour le 4 janvier 2023
Fléau des propriétaires, la période de vacance locative peut représenter un véritable manque à gagner pour ces derniers. Heureusement, des solutions existent pour s’en prémunir. Annonce de location attractive, montant du loyer, choix du locataire, travaux, assurance vacance locative… Voici tous nos conseils pour éviter que votre logement ne se retrouve vacant.
La vacance locative correspond à la période durant laquelle le précédent locataire a quitté les lieux sans pour autant qu’un nouvel occupant ne les ait encore investis. Le bien n’est plus loué, les rentrées d’argent s’arrêtent… C’est l’une des périodes les plus redoutées des propriétaires. Non seulement il y a un manque à gagner pour le bailleur, mais ce dernier doit continuer à payer les charges, crédits et impôts rattachés au bien.
La durée de la vacance locative est quant à elle indéterminée. Cela signifie qu’elle peut durer quelques jours comme plusieurs mois ou années. Mais tout est une question de contexte et selon la situation, une période de vacance locative peut être tout à fait normale.
Si l’on prend l’exemple d’une location étudiante, en tant que propriétaire vous devez vous attendre à ce que le logement soit vacant durant la période estivale. Les cours étant à l’arrêt, les étudiants ont tendance à rentrer chez leurs parents. Mais pas d’inquiétude, votre bien immobilier sera à nouveau pris d’assaut en septembre lors de la rentrée universitaire. En fonction du contexte, la vacance locative peut donc être plus ou moins justifiée et acceptée.
On entend souvent parler de carence locative. Mais est-ce la même chose ? Une petite distinction existe entre la vacance locative et la carence locative. Dans le premier cas, c’est la période durant laquelle un logement se retrouve vide entre deux locations qui est visée.
À l'inverse, la carence locative correspond quant à elle à la période durant laquelle le bien immobilier est pour la première fois mis sur le marché de la location sans avoir encore trouvé preneur.
Comme nous vous l’indiquions plus haut, la vacance locative peut résulter de nombreux facteurs. Mais certaines situations à l’origine de ce manque à gagner sont plus récurrentes que d’autres. On peut notamment en citer 4 :
En tant que propriétaire, vous devez pourtant éviter au maximum la vacance locative tout comme les facteurs qui pourraient la faire émerger. Emplacement, type de logement, prix du loyer… Analysons à présent chacune de ces causes dans le détail.
Le premier réflexe à avoir pour éviter que votre logement ne se retrouve vacant consiste à investir dans un bien répondant à une demande locale.
Reprenons notre exemple de la location étudiante. Si vous vous trouvez à proximité des universités ou dans un quartier étudiant, investir dans un studio permettra de répondre à une demande principale : celle des étudiants. Vous aurez en effet davantage de chances d’attirer un étudiant sur ce secteur géographique qu’une famille.
Par conséquent, tout l’enjeu pour vous est de connaître l’origine de cette demande pour investir dans un bien immobilier qui puisse y répondre.
Nous l’avons vu, la situation géographique d’un bien est l’un des critères les plus importants à prendre en compte dans un investissement locatif. Cet élément déterminera la cible que vous visez, mais également les moyens engagés pour l’atteindre. Pour espérer louer rapidement un logement, l’idéal est donc que l’habitation soit bien située. Mais qu’entendons-nous au juste par « bien situé » ?
4 points sont à retenir quant à la localisation d’un bien immobilier « bien situé » :
Une fois le secteur géographique ciblé et le logement trouvé, la seconde étape consiste à déterminer le montant du loyer. Et ici encore la localisation prend toute son importance. Le montant du loyer doit en effet être établi en adéquation avec les prix proposés sur le marché.
Et pour connaître les tarifs pratiqués, le mot d’ordre est de comparer. Pour cela vous devez décortiquer les sites d’annonces immobilières et vitrines d’agences puis identifier les biens similaires à votre logement et dans votre quartier (aux superficies équivalentes). Enfin, il ne vous restera plus qu’à les comparer.
Une fois le montant du loyer fixé, 3 situations peuvent se présenter :
Pour vous assurer une occupation permanente, vous devez toujours garder en tête ce que vaut réellement votre bien.
En plus d'établir le prix du loyer, cela paraît évident, mais proposer un logement en bon état est toujours plus attrayant pour les candidats. Cela peut aussi bien nécessiter de petits travaux qu’une rénovation plus importante. Mais la finalité reste la même : réussir à louer votre logement.
Ayez également en tête que les travaux réalisés donneront de la valeur à votre bien au moment de la revente et qu’une plus-value est possible à la clé ! Un logement bien entretenu se déprécie moins. À prestations équivalentes, un locataire visera le logement qui fait la différence, à savoir celui qui sera le mieux équipé possible, celui qui sera refait à neuf… etc.
La partie travaux est donc une piste à creuser si vous entendez revaloriser votre bien sur le marché et vous prémunir de la vacance locative.
Contrôler avec sérieux le dossier de location de votre futur locataire est également une bonne astuce pour éviter la vacance locative. Mais ce principe emporte une condition : que les critères de sélection utilisés restent raisonnables.
Aujourd’hui, la grande majorité des propriétaires bailleurs et agences immobilières estiment un dossier de candidat recevable lorsque les revenus du futur locataire sont équivalents ou supérieurs à 3 fois le montant du loyer. Mais il n’existe aucune règle en la matière et en réalité chaque propriétaire peut fixer librement ses propres conditions.
Concrètement, cela signifie que vous pouvez très bien décider que votre futur locataire doit gagner 5 ou 6 fois le montant du loyer. En théorie plus le candidat disposera de ressources et meilleure sera votre garantie contre l’impayé.
Toutefois, être trop exigeant sur le choix de votre locataire vous privera potentiellement de nombreux bons candidats. Nous vous conseillons donc de privilégier une bonne caution plutôt que de tout miser sur les ressources du candidat.
Lorsqu’on se lance dans l’investissement locatif, le maître mot est l’anticipation. Votre locataire peut rapidement quitter le logement, surtout en zone tendue où le préavis de départ correspond à 1 mois (contre 3 mois en zone non tendue). Il ne faut donc pas se laisser surprendre par les dates de départ, mais au contraire, toujours les avoir en tête ! Le temps c’est de l’argent et en perdre vous conduira irrémédiablement vers une période de vacance locative.
Le départ de votre locataire approche, il vous adresse son préavis… Que faire ensuite ? Pour rendre votre bien immobilier visible au plus grand nombre de candidats possible, nous vous conseillons de rédiger une nouvelle annonce de location. Cette dernière doit être la plus précise et complète possible et comprendre à minima :
De même, l’annonce doit être accompagnée de photos (avantageuses) de votre logement. Évitez les photos floues, obscures ou encore des clichés de pièces non rangées (chambre avec le lit non fait, cuisine avec de la vaisselle sale dans l’évier…).
Quant au choix des canaux de diffusion à privilégier, vous pouvez tout à fait utiliser des sites d’annonces en ligne comme Leboncoin, PAP, SeLoger etc. Les petites annonces sont aujourd’hui incontournables pour espérer louer un bien immobilier.
Des candidats vous contactent suite à la diffusion de l'annonce ? Surtout, soyez réactif en répondant rapidement aux demandes sous réserve que les potentiels locataires ne se tournent vers un autre bien. De même pour éviter la vacance locative, n’hésitez pas à débuter les visites durant le préavis du locataire actuel.
Pour avoir la certitude d’obtenir une rentrée d’argent quand bien même votre logement est vacant, une solution consiste à souscrire une assurance vacance locative. Cette technique permet au propriétaire de continuer à percevoir des revenus même si aucun locataire n’occupe le logement pendant plusieurs mois.
L’assurance vacance locative peut être souscrite seule ou être intégrée à une autre assurance comme la Garantie Loyers impayés (GLI), la Garantie des Risques Locatifs (GRL) ou l’assurance propriétaire non-occupant (PNO). Toutefois nous vous recommandons de bien lire le contrat avant de signer quoi que ce soit. En effet, il n’est pas rare (voire fréquent) qu’une franchise de 1 à 3 mois soit appliquée. Qu’est-ce que cela signifie ? Que durant cette période la vacance locative reste à votre charge, en d’autres termes, vous ne percevez rien de la part de l’assurance.
Quant à la couverture des loyers pris en charge, sachez que l’assurance vacance locative peut assurer entre 80% et 100% du montant du loyer (charges comprises).
Alors l’assurance vacance locative bonne ou mauvaise idée ? Et bien, tout dépend de la nature du contrat, à savoir :
Toutes les solutions énoncées ci-dessus vous permettront de limiter fortement le risque de vacance locative. Prendre conscience de ces quelques lignes vous permettra ainsi d’éviter 4 situations :
Sur ce dernier point, cela signifie que si la vacance locative est indépendante de votre volonté, la taxe sur les logements vacants ne sera alors pas due.
Éviter la vacance locative dépend de nombreux facteurs comme privilégier un secteur géographique attractif pour réaliser son investissement locatif ou proposer un logement en bon état et un loyer concordant avec les tarifs pratiqués sur le marché. Vous avez également la possibilité de souscrire une assurance vacance locative pour vous assurer d’une rentrée d’argent quand bien même le logement serait vacant.
La carence locative correspond à la période durant laquelle le bien immobilier est pour la première fois proposé sur le marché de la location sans avoir encore trouvé preneur.
L’assurance vacance locative est une solution permettant au propriétaire de continuer à percevoir des revenus même en l’absence de locataire dans le logement. Cette assurance peut être souscrite seule ou en complément d’une autre assurance comme la GLI, ou l'assurance PNO. Attention, avant de souscrire il est indispensable de bien lire les garanties, exclusions, périodes de franchise et plafond d’indemnisation prévus par le contrat.
Le propriétaire d’un logement vacant depuis au moins 1 an (au 1er janvier de l'année d’imposition) situé en zone tendue et dont la vacance est volontaire sera redevable de la taxe sur les logements vacants (TLV).
SOMMAIRE
La vacance locative correspond à la période durant laquelle le précédent locataire a quitté les lieux sans pour autant qu’un nouvel occupant ne les ait encore investis. Le bien n’est plus loué, les rentrées d’argent s’arrêtent… C’est l’une des périodes les plus redoutées des propriétaires. Non seulement il y a un manque à gagner pour le bailleur, mais ce dernier doit continuer à payer les charges, crédits et impôts rattachés au bien.
La durée de la vacance locative est quant à elle indéterminée. Cela signifie qu’elle peut durer quelques jours comme plusieurs mois ou années. Mais tout est une question de contexte et selon la situation, une période de vacance locative peut être tout à fait normale.
Si l’on prend l’exemple d’une location étudiante, en tant que propriétaire vous devez vous attendre à ce que le logement soit vacant durant la période estivale. Les cours étant à l’arrêt, les étudiants ont tendance à rentrer chez leurs parents. Mais pas d’inquiétude, votre bien immobilier sera à nouveau pris d’assaut en septembre lors de la rentrée universitaire. En fonction du contexte, la vacance locative peut donc être plus ou moins justifiée et acceptée.
On entend souvent parler de carence locative. Mais est-ce la même chose ? Une petite distinction existe entre la vacance locative et la carence locative. Dans le premier cas, c’est la période durant laquelle un logement se retrouve vide entre deux locations qui est visée.
À l'inverse, la carence locative correspond quant à elle à la période durant laquelle le bien immobilier est pour la première fois mis sur le marché de la location sans avoir encore trouvé preneur.
Comme nous vous l’indiquions plus haut, la vacance locative peut résulter de nombreux facteurs. Mais certaines situations à l’origine de ce manque à gagner sont plus récurrentes que d’autres. On peut notamment en citer 4 :
En tant que propriétaire, vous devez pourtant éviter au maximum la vacance locative tout comme les facteurs qui pourraient la faire émerger. Emplacement, type de logement, prix du loyer… Analysons à présent chacune de ces causes dans le détail.
Le premier réflexe à avoir pour éviter que votre logement ne se retrouve vacant consiste à investir dans un bien répondant à une demande locale.
Reprenons notre exemple de la location étudiante. Si vous vous trouvez à proximité des universités ou dans un quartier étudiant, investir dans un studio permettra de répondre à une demande principale : celle des étudiants. Vous aurez en effet davantage de chances d’attirer un étudiant sur ce secteur géographique qu’une famille.
Par conséquent, tout l’enjeu pour vous est de connaître l’origine de cette demande pour investir dans un bien immobilier qui puisse y répondre.
Nous l’avons vu, la situation géographique d’un bien est l’un des critères les plus importants à prendre en compte dans un investissement locatif. Cet élément déterminera la cible que vous visez, mais également les moyens engagés pour l’atteindre. Pour espérer louer rapidement un logement, l’idéal est donc que l’habitation soit bien située. Mais qu’entendons-nous au juste par « bien situé » ?
4 points sont à retenir quant à la localisation d’un bien immobilier « bien situé » :
Une fois le secteur géographique ciblé et le logement trouvé, la seconde étape consiste à déterminer le montant du loyer. Et ici encore la localisation prend toute son importance. Le montant du loyer doit en effet être établi en adéquation avec les prix proposés sur le marché.
Et pour connaître les tarifs pratiqués, le mot d’ordre est de comparer. Pour cela vous devez décortiquer les sites d’annonces immobilières et vitrines d’agences puis identifier les biens similaires à votre logement et dans votre quartier (aux superficies équivalentes). Enfin, il ne vous restera plus qu’à les comparer.
Une fois le montant du loyer fixé, 3 situations peuvent se présenter :
Pour vous assurer une occupation permanente, vous devez toujours garder en tête ce que vaut réellement votre bien.
En plus d'établir le prix du loyer, cela paraît évident, mais proposer un logement en bon état est toujours plus attrayant pour les candidats. Cela peut aussi bien nécessiter de petits travaux qu’une rénovation plus importante. Mais la finalité reste la même : réussir à louer votre logement.
Ayez également en tête que les travaux réalisés donneront de la valeur à votre bien au moment de la revente et qu’une plus-value est possible à la clé ! Un logement bien entretenu se déprécie moins. À prestations équivalentes, un locataire visera le logement qui fait la différence, à savoir celui qui sera le mieux équipé possible, celui qui sera refait à neuf… etc.
La partie travaux est donc une piste à creuser si vous entendez revaloriser votre bien sur le marché et vous prémunir de la vacance locative.
Contrôler avec sérieux le dossier de location de votre futur locataire est également une bonne astuce pour éviter la vacance locative. Mais ce principe emporte une condition : que les critères de sélection utilisés restent raisonnables.
Aujourd’hui, la grande majorité des propriétaires bailleurs et agences immobilières estiment un dossier de candidat recevable lorsque les revenus du futur locataire sont équivalents ou supérieurs à 3 fois le montant du loyer. Mais il n’existe aucune règle en la matière et en réalité chaque propriétaire peut fixer librement ses propres conditions.
Concrètement, cela signifie que vous pouvez très bien décider que votre futur locataire doit gagner 5 ou 6 fois le montant du loyer. En théorie plus le candidat disposera de ressources et meilleure sera votre garantie contre l’impayé.
Toutefois, être trop exigeant sur le choix de votre locataire vous privera potentiellement de nombreux bons candidats. Nous vous conseillons donc de privilégier une bonne caution plutôt que de tout miser sur les ressources du candidat.
Lorsqu’on se lance dans l’investissement locatif, le maître mot est l’anticipation. Votre locataire peut rapidement quitter le logement, surtout en zone tendue où le préavis de départ correspond à 1 mois (contre 3 mois en zone non tendue). Il ne faut donc pas se laisser surprendre par les dates de départ, mais au contraire, toujours les avoir en tête ! Le temps c’est de l’argent et en perdre vous conduira irrémédiablement vers une période de vacance locative.
Le départ de votre locataire approche, il vous adresse son préavis… Que faire ensuite ? Pour rendre votre bien immobilier visible au plus grand nombre de candidats possible, nous vous conseillons de rédiger une nouvelle annonce de location. Cette dernière doit être la plus précise et complète possible et comprendre à minima :
De même, l’annonce doit être accompagnée de photos (avantageuses) de votre logement. Évitez les photos floues, obscures ou encore des clichés de pièces non rangées (chambre avec le lit non fait, cuisine avec de la vaisselle sale dans l’évier…).
Quant au choix des canaux de diffusion à privilégier, vous pouvez tout à fait utiliser des sites d’annonces en ligne comme Leboncoin, PAP, SeLoger etc. Les petites annonces sont aujourd’hui incontournables pour espérer louer un bien immobilier.
Des candidats vous contactent suite à la diffusion de l'annonce ? Surtout, soyez réactif en répondant rapidement aux demandes sous réserve que les potentiels locataires ne se tournent vers un autre bien. De même pour éviter la vacance locative, n’hésitez pas à débuter les visites durant le préavis du locataire actuel.
Pour avoir la certitude d’obtenir une rentrée d’argent quand bien même votre logement est vacant, une solution consiste à souscrire une assurance vacance locative. Cette technique permet au propriétaire de continuer à percevoir des revenus même si aucun locataire n’occupe le logement pendant plusieurs mois.
L’assurance vacance locative peut être souscrite seule ou être intégrée à une autre assurance comme la Garantie Loyers impayés (GLI), la Garantie des Risques Locatifs (GRL) ou l’assurance propriétaire non-occupant (PNO). Toutefois nous vous recommandons de bien lire le contrat avant de signer quoi que ce soit. En effet, il n’est pas rare (voire fréquent) qu’une franchise de 1 à 3 mois soit appliquée. Qu’est-ce que cela signifie ? Que durant cette période la vacance locative reste à votre charge, en d’autres termes, vous ne percevez rien de la part de l’assurance.
Quant à la couverture des loyers pris en charge, sachez que l’assurance vacance locative peut assurer entre 80% et 100% du montant du loyer (charges comprises).
Alors l’assurance vacance locative bonne ou mauvaise idée ? Et bien, tout dépend de la nature du contrat, à savoir :
Toutes les solutions énoncées ci-dessus vous permettront de limiter fortement le risque de vacance locative. Prendre conscience de ces quelques lignes vous permettra ainsi d’éviter 4 situations :
Sur ce dernier point, cela signifie que si la vacance locative est indépendante de votre volonté, la taxe sur les logements vacants ne sera alors pas due.
Éviter la vacance locative dépend de nombreux facteurs comme privilégier un secteur géographique attractif pour réaliser son investissement locatif ou proposer un logement en bon état et un loyer concordant avec les tarifs pratiqués sur le marché. Vous avez également la possibilité de souscrire une assurance vacance locative pour vous assurer d’une rentrée d’argent quand bien même le logement serait vacant.
La carence locative correspond à la période durant laquelle le bien immobilier est pour la première fois proposé sur le marché de la location sans avoir encore trouvé preneur.
L’assurance vacance locative est une solution permettant au propriétaire de continuer à percevoir des revenus même en l’absence de locataire dans le logement. Cette assurance peut être souscrite seule ou en complément d’une autre assurance comme la GLI, ou l'assurance PNO. Attention, avant de souscrire il est indispensable de bien lire les garanties, exclusions, périodes de franchise et plafond d’indemnisation prévus par le contrat.
Le propriétaire d’un logement vacant depuis au moins 1 an (au 1er janvier de l'année d’imposition) situé en zone tendue et dont la vacance est volontaire sera redevable de la taxe sur les logements vacants (TLV).
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