Procédure de demande des APL
Pour bénéficier de l'APL, le locataire éligible doit en faire la demande sur le site internet de la CAF de son département.
Publié le 14 décembre 2022Mis à jour le 19 janvier 2023
Publié le 14 décembre 2022Mis à jour le 19 janvier 2023
Le bail mobilité est compatible avec le versement d'aides de la Caisse d'allocations familiales (CAF) telles que l'aide personnalisée au logement (APL) ou l'allocation de logement sociale (ALS).
Pour être éligible, le bien loué doit nécessairement constituer la résidence principale du locataire.
Un locataire peut percevoir des APL si le logement pour lequel il soumet la demande répond à certains critères :
Être situé en France ;
Constituer la résidence principale de l'occupant (occupation du logement durant au moins 8 mois dans l'année, consécutifs ou non) ;
Être décent au regard de la règlementation, notamment en termes de surface (minimum 9 m² pour une personne seule ou 16 m² pour un couple et 9 m² par personne supplémentaire) ;
Être conventionné (pour les contrats de location classiques).
Le locataire peut percevoir l'aide personnalisée au logement s'il répond à certaines conditions :
Des critères de revenus (prise en compte des revenus des 12 derniers mois, de plafonds de ressources en fonction de la situation personnelle et géographique du demandeur…) ;
Ne pas être rattaché à un foyer fiscal soumis à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI) ;
Ne pas bénéficier d'une autre aide de l'état au moment de la demande (allocation logement social ou allocation logement familiale) ;
Être français ou posséder un titre de séjour en cours de validité pour les étrangers.
Comme nous venons de le voir, le locataire ne peut bénéficier de l'APL que dans le cadre de sa résidence principale. Or, le bail mobilité est consenti pour une durée pouvant varier de 1 à 10 mois.
Par conséquent, la durée du bail :
Le bail et les quittances de loyer doivent être établis au nom du bénéficiaire de l'APL (sauf s'il est mineur) ;
Le locataire ne doit pas avoir de lien de parenté avec le bailleur ;
Le loyer ne doit pas être jugé trop élevé par l'administration, auquel cas, elle peut décider de réduire ou de supprimer l'allocation.
Un logement loué est considéré comme une résidence secondaire lorsque la durée du bail est inférieure à 8 mois. Aussi, le bail mobilité d'une durée comprise en 1 mois et 7 mois et 29 jours constitue la résidence secondaire du locataire.
Celui-ci n'est alors légalement pas éligible à l'APL qui ne s'applique qu'aux résidences principales.
Un locataire peut percevoir des APL si le logement pour lequel il soumet la demande répond à certains critères :
Être situé en France ;
Constituer la résidence principale de l'occupant (occupation du logement durant au moins 8 mois dans l'année, consécutifs ou non) ;
Être décent au regard de la règlementation, notamment en termes de surface (minimum 9 m² pour une personne seule ou 16 m² pour un couple et 9 m² par personne supplémentaire) ;
Être conventionné (pour les contrats de location classiques).
Le locataire peut percevoir l'aide personnalisée au logement s'il répond à certaines conditions :
Des critères de revenus (prise en compte des revenus des 12 derniers mois, de plafonds de ressources en fonction de la situation personnelle et géographique du demandeur…) ;
Ne pas être rattaché à un foyer fiscal soumis à l'impôt sur la fortune immobilière (IFI) ;
Ne pas bénéficier d'une autre aide de l'état au moment de la demande (allocation logement social ou allocation logement familiale) ;
Être français ou posséder un titre de séjour en cours de validité pour les étrangers.
Comme nous venons de le voir, le locataire ne peut bénéficier de l'APL que dans le cadre de sa résidence principale. Or, le bail mobilité est consenti pour une durée pouvant varier de 1 à 10 mois.
Par conséquent, la durée du bail :
Le bail et les quittances de loyer doivent être établis au nom du bénéficiaire de l'APL (sauf s'il est mineur) ;
Le locataire ne doit pas avoir de lien de parenté avec le bailleur ;
Le loyer ne doit pas être jugé trop élevé par l'administration, auquel cas, elle peut décider de réduire ou de supprimer l'allocation.
Un logement loué est considéré comme une résidence secondaire lorsque la durée du bail est inférieure à 8 mois. Aussi, le bail mobilité d'une durée comprise en 1 mois et 7 mois et 29 jours constitue la résidence secondaire du locataire.
Celui-ci n'est alors légalement pas éligible à l'APL qui ne s'applique qu'aux résidences principales.
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